Derrida
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Les collectes de l'Orloeuvre
   
     
Lévinas, l'élément                     Lévinas, l'élément
Sources (*) :              
Emmanuel Lévinas - "Totalité et infini (Essai sur l'extériorité)", Ed : Livre de Poche, 1971, p207

 

Bonjour cher Ping -

Pour que la vision fasse apparaître l'objet, il faut que la lumière vide l'espace et que l'horreur de ce vide impersonnel soit oubliée

   
   
   
                 
                       

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Pour qu'un objet soit vu, il faut de la lumière. La lumière chasse les ténèbres, elle vide l'espace, elle fait surgir l'espace comme un vide. Alors, l'oeil ne voit pas la lumière, mais l'objet. La chose est rencontrée dans le rien. Elle est reçue à partir de ce néant qu'"il y a".

L'ouverture de l'expérience, c'est que l'objet vient à partir du vide comme à partir d'une origine. Comprendre un être particulier, c'est le saisir à partir d'un lieu éclairé, qu'il ne remplit pas. L'autre espace se remplit d'une obscurité qui n'est pas le néant absolu, mais qui l'empêche de prétendre au statut d'objet. Il y a ce vide impersonnel. Il surgit comme négation de la chose, puis retourne intact et indifférent dans l'espace infini, effrayant, dans l'épaisseur indéterminée de l'élément.

La vision se mue en prise. Elle s'ouvre sur une perspective, un horizon. Elle annonce le contentement de la jouissance. L'objet séparé surgit, l'être extérieur annonce la sortie de l'Il y a.

 

 

 


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