(Winona) : Sans James, je pense que je serais toujours à Boston. Tout était si confortable là-bas, si simple. Je pouvais peindre toute la journée, mes parents payaient le loyer et je n'avais même pas besoin de faire semblant de faire des études. Ici je vis difficilement, j'ai dû m'inscrire aux Beaux-Arts pour que mes parents me financent, j'ai fini par abandonner les tableaux, et sans ce petit boulot de graphiste, je crois bien que je n'arriverais pas à joindre les deux bouts. Mais bon, ça n'est pas trop grave, il y a des situations bien pires comme celle de Tjara.

Ouzza : Je ne sais pas exactement comment elle raisonne. Elle est peut-être tombée amoureuse de ce type, Hantaï. Les passions post mortem, ce sont des choses qui arrivent. Le Souabe s'était retiré pendant une vingtaine d'années, elle n'était pas née à l'époque mais elle aurait pu envisager de faire ce qu'il n'a pas fait, ou bien de faire ce qu'elle, elle imagine qu'il n'a pas fait. Et si la fabrique dickienne servait à ça?

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

--------------