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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la parole | Derrida, la parole | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la garde | Derrida, la garde | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'écriture et la différence", Ed : Seuil, 1967, p94 Tete originaire (Armando Benjoz, 2010) - |
Derrida, la folie | Chaque parole nouvelle peut faire revivre le geste de crise, de violence originaire qui a renfermé la folie, et dont elle garde la trace |
Derrida, la folie | ||||||||||||||
Derrida, Descartes, le cogito | Derrida, Descartes, le cogito | ||||||||||||||||
Derrida, violence, cruauté | Derrida, violence, cruauté | ||||||||||||||||
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Derrida critique le livre de Michel Foucault, Histoire de la folie, à partir de ce que dit Descartes sur la folie dans la Première Méditation. Pour Foucault, Descartes inaugure le geste d'exclusion de la folie à l'âge classique. Pour Derrida, ce n'est pas une exclusion au sens d'un événement historique, factuel, c'est un geste d'ouverture de la parole qui rend nécessaire un enfermement de la folie, mais celle-ci reste présente, proche, à travers le doute hyperbolique, et aussi à travers chaque parole nouvelle qui la réactive. Entre la crise et le réveil, le mouvement d'alternance est le temps lui-même, celui du logos. Entre une pensée-finie, rassurante, avec laquelle vivre, et ce qui dans la parole excède cette finitude et qu'on peut appeler folie, s'ouvre un espace de dialogue avec soi. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaParole CR.ISE DerridaGardeTF.OLI DerridaFolieDK.LKK DerridaDescartesGE.LGE DerridaViolenceFL.KDD UFolieCrise Rang = IGenre = DET - DET |
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