Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Kant, les Critiques | Kant, les Critiques | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le beau | Derrida, le beau | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La vérité en peinture", Ed : Flammarion, 1978, p119 Vue anthropologique d'un cheval - |
On ne peut lire la théorie kantienne du jugement esthétique qu'à partir de la critique du jugement téléologique |
||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Certaines affirmations de la première partie de la Critique de la Faculté de Juger (sur l'esthétique) ne peuvent s'expliquer sans partir de la seconde partie de ce livre (sur la téléologie). Selon Kant : - la beauté de l'homme ne peut pas être libre; pourtant la beauté idéale est réservée à la forme humaine, et à elle seule. - une fleur ou un crustacé peuvent être appréhendés comme des beautés libres de la nature, mais pas un cheval. Pourquoi le cheval est-il obligatoirement déterminé par sa finalité, et pas la fleur? Les trois exemples de beauté "adhérente" donnés par Kant (homme, cheval, édifices, §17) sont anthropologiques. Kant explique (§83) que l'homme est une fin de la nature, et que, sur terre, il est la fin dernière de la nature. Cette affirmation relève du jugement réfléchissant, c'est-à-dire d'une anthropologie pragmatique. Toute notion de beauté qui s'y réfère (à l'homme ou à ses extensions : animaux domestiques et habitations) est marquée par l'intérêt, ce qui est incompatible avec l'idée d'une beauté libre. |
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida KantCritiques VG.JJK DerridaBeauME.LED T.lecture Rang = OGenre = MK - NG |
|||||||||||||||