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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacqueline Lichtenstein - "La couleur éloquente - Rhétorique et peinture à l'âge classique", Ed : Flammarion - Champs, 1999, p54 Apelles et le cordonnier critique (Von Sandrart, 1683) - |
Apelles et le cordonnier critique (Joachim von Sandrart, 1683) |
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Comme Platon, le cordonnier critique l'imitation de la chaussure. Elle ne ressemble pas à une vraie chaussure. Mais il saute aux yeux que ce qui est absurde n'est pas l'imitation de la chaussure, mais le fait que la femme nue soit chaussée (un seul de ses pieds est chaussé, comme s'il ne s'agissait que de provoquer le jugement négatif). Par ailleurs on compare une chaussure de femme à une chaussure d'homme. Le peintre ne prend pas Platon au sérieux, il se moque de lui. De toutes façons, semble-t-il dire, ce n'est qu'une représentation, une image : qu'elle soit crédible (au sens de Platon) ou non n'a aucune importance. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Lichtenstein zi.1683.Sandrart.JoachimVonRang = YApelles |
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