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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Cinéma, art populaire | Cinéma, art populaire | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le théatre défend la voix | Le théatre défend la voix | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Le cinéma et ses fantômes (interview dans les Cahiers du cinéma, avril 2001)", Ed : Cahiers du Cinéma, 2001, p79 Le theatre d'Orange - |
Derrida, le cinéma | Le paradoxe du cinéma, c'est que cette expérience qui appelle le collectif est absolument solitaire, individuelle : cet art de masse est aussi celui de la déliaison, de la dissociation |
Derrida, le cinéma | ||||||||||||||
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D'un côté, le cinéma imprime des émotions, il suscite des identifications dans l'esprit de chaque spectateur, il fait venir des apparitions qui s'inscrivent dans les corps et les désirs. Chacun projette quelque chose d'intime sur l'écran. Chacun peut jouer, singulièrement, au jeu des transferts. Mais d'un autre côté, chaque film est reproduit en des milliers de copies dans le monde entier. C'est une industrie financière qui touche des millions de spectateurs et ne peut être rentabilisée que par la consommation de masse. Les projections individuelles se croisent en une représentation collective. Celle-ci appelle le collectif, mais elle ne fait pas communauté. Il y a une déliaison fondamentale. Je suis seul face au fantôme, comme dans un rêve, sans aucune dimension politique ou militante comme elle peut se produire au théâtre. La masse est dissociée, déliée. |
Le theâtre d'Orange
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida ArtCinema EB.KQQ ArtTheatreDS.JAF DerridaCinemaFE.USX WCinemaSolitude Rang = OGenre = MR - IB |
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