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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Quelconque, n'importe q... | Quelconque, n'importe q... | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cadre (ce qui s'en éparpille) | Le cadre (ce qui s'en éparpille) | |||||||||||||||
Thierry de Duve - "Au nom de l'art (Pour une archéologie de la modernité)", Ed : Minuit, 1989, p120 L'obsession violette de Y. Kusa ma (apres deformation) - |
Toutes les justifications de l'art moderne se déduisent des interprétations de l'injonction nue : "Fais n'importe quoi" |
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"Fais n'importe quoi" est la maxime de l'art moderne, à laquelle il est impossible de désobéir. Mais comme il est très difficile aux artistes, critiques et historiens d'art de la repérer et la présenter telle quelle, ils l'enrobent dans des interprétations. Ils affirment que l'art sert telle ou telle finalité : esthétique, politique, transcendantale, etc... Ils soutiennent, par exemple, que l'art est un moyen de juguler la barbarie, qu'il est une quête ou une promesse, qu'il exprime son époque. Ils acceptent l'idée du "faire n'importe quoi" mais y ajoutent une condition : pourvu que ça choque, que ce soit décevant, que ça n'ait pas de sens, que l'inconscient s'exprime, que ce soit hermétique, etc... Toutes ces conceptions ont eu leur heure de gloire, mais sont en crise. Elles atteignent leur point critique. Elles sont devenues interchangeables. Il ne reste que le n'importe quoi dans sa nudité, qui court sous le nom de postmodernisme : une pseudo-philosophie sans doctrine, à la fois opportuniste et fonctionnaliste. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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DeDuve ProQuelconque EE.LEE EDissCadreEG.LEG U.quelconque Rang = OGenre = MK - NG |
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