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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
CinéAnalyse : la pulsion anarchivique | CinéAnalyse : la pulsion anarchivique | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéloft du Quai | Le cinéloft du Quai | |||||||||||||||
Alain Boisoulier - "Nouvelles symbioses", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 7 avril 2022 | [(CinéAnalyse) : En ruinant les autorités, légitimes ou pas, qui pourraient soutenir, protéger ou sauvegarder l'archive] |
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1974. - Amarcord (Federico Fellini). 1989. - Le syndrome asthénique (Kira Mouratova). 2022. - Les Amandiers (Valeria Bruni-Tedeschi). --- Il s'agit, bien que je ne l'aie pas inscrit dans le titre, de la pulsion anarchivique. Nous sommes tous en rapport avec un passé plus ou moins remémoré ou fantasmé, un désir d'archive. Ce désir se manifeste, par exemple, dans des films autobiographiques comme Amarcord (Federico Fellini, 1974), Armageddon Time (James Gray, 2022) ou Les Amandiers (Valeria Bruni-Tedeschi, 2022), mais ce qui revient comme passé - reconstruit, embelli, enlaidi, glorifié ou autre - contribue dans le même temps à sa transformation, sa destruction. La pulsion anarchivique appelle l'archive tout en la détruisant. Il faut vivre avec cela, ce mal d'archive, soit douloureusement, soit dans une sorte d'allégresse, comme dans Le syndrome asthénique (Kira Mouratova, 1969) ou, justement, Les Amandiers.
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-------------- Propositions -------------- |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise PulsAna AA.BBB CineLoftDQ.MPL KF_PulsAna Rang = YCineAnarchiveGenre = - |
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