Derrida
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Ksa Freisteirx                     Ksa Freisteirx
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Ksa Freisteirx - "Ehvy", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 7 août 2001

 

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[Ksa Freisteirx]

   
   
   
                 
                       

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(Je leur dis que je suis né en Allemagne, c'est déjà pas si mal, je pourrais leur donner un autre endroit, par exemple Arabie Saoudite, car mon prénom est tellement rare que les gens imaginent que je suis né là, Kingdom of Saudi Arabia, mais évidemment ça n'a rien à voir, je suis un Souabe, pas un Arabe, et mon prénom non plus n'est pas souabe, mais tout ça m'est complètement égal, si j'étais Arabe je ferais exactement la même chose).

- Ouzza : Né, comme Faust, dans la petite ville de Knittlingen, en Souabe, sa Marguerite à lui, c'est Antoinette Magard. IL n'a pas vendu son âme au diable, mais il fait quelque chose qui y ressemble : c'est un spécialiste de l'intelligence artificielle.

(Quant à mon nom de famille, il ne vaut guère mieux. J'ai dû avoir un ancêtre un peu fou qui a récupéré ce nom-là au loto - je l'ai retourné dans tous les sens, et tout ce que j'ai pu en tirer, c'est qu'il commençait comme Freud et finissait comme Marx. Il n'y a pas de quoi être fier).

- Ouzza : Sans le vouloir, il entraînera Antoinette dans son aventure.

(Il est vrai que j'avais une affinité pour Danel. Je ne lui parlais pas beaucoup, mais je me sentais bien avec lui).

- Ouzza : Il aurait bien voulu la mettre à l'abri, la protéger, mais c'était tout simplement impossible.

(Danel n'était pas tellement curieux. Ce qu'il savait, il le savait depuis toujours, et puis c'était tout. Il n'avait aucune raison de se perfectionner. C'était simplement ce qu'il avait toujours fait).

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[On ne se débarrasse pas d'un reste : il est ce qui persiste, s'obstine et fait retour, irréductiblement]

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[On ne parle de la trace qu'à hauteur de ce qui s'en est effacé]

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[L'oeuvre qui se montre ou s'écrit à Guilgal, elle y rencontre l'autre, elle s'y consume]

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[(CinéAnalyse) : En appelant au deuil, inarrêtable et infini, d'une trace qui s'efface]

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La trace, racine commune de la rétention et de la représentation, introduit le mouvement de la différance dans la pure actualité du maintenant

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L'écriture est l'impossibilité pour une chaîne de s'arrêter sur un signifié

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Le jeu de la trace, qui appartient à l'âge de la différance, est "plus vieux" que la vérité de l'être

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L'archi-trace est la trace originaire : celle qui, à l'origine de l'origine, a disparu

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L'"avoir-lieu" de la déconstruction, c'est l'enregistrement de cette "chose", la trace qui trace, où l'événement affecte l'expérience même du lieu

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Freud cherche à déchiffrer une "écriture originelle", mais ne trouve qu'un résidu idiomatique, irréductible, intraduisible, qui porte le poids de l'interprétation

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Nommer est un don généreux, inaugural, mais c'est aussi arraisonner, identifier, s'approprier violemment ce qu'on nomme

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Dans la structure de la marque, la possibilité de l'absence du récepteur est toujours inscrite - elle contamine toute parole et toute écriture

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La restance n'est ni présente, ni absente; c'est ce qui, dans la structure d'itérabilité, conditionne l'altération de la marque, sa transformation (re-marque) et son surgissement

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S'"il y a" du moi ou de l'objet, c'est par restance de la trace - au-delà de toute ontologie

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La trace (pure) est la différance

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Le concept de trace est coextensif à l'expérience du vivant en général : dès qu'il y a renvoi à l'autre ou à autre chose, il y a trace

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Penser l'unique dans le système, l'y inscrire, tel est le geste de l'archi-écriture

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L'écriture vient à la place du nom de Dieu - dans une dérive graphématique, ultime et irremplaçable

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Au fond, la seule et ultime proposition de Jacques Derrida, c'est de "laisser venir la trace"

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On peut interpréter les différences repérées par Freud dans la production de la trace comme moments de la différance

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La performance dite "artistique" anticipe la réduction de l'oeuvre à un rien, un reste ou une trace

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Entre l'accueil d'une alliance et sa rupture, Galgal est un lieu, un seuil, un mouvement de rotation

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Ehvy (Ksa Freisteirx, 2007) [Ehvy]

 


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