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(Martine : Je demande à tout le monde : mon coiffeur, mes copines, mes clients, et même à mon miroir, je demande à mon miroir et même à mon chat. Est-ce que j'arrive à avoir une présence? Mais personne ne répond. Pas même Max. Ils ont tous la même réaction, ils changent de sujet, instantanément).
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Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)
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- [Désormais l'image est vouée à faire surgir l'émotion et amplifier le pathos]
- [La voix charrie l'affect]
- [Comme l'hymen, le "care" n'est pas propre au féminin : il vient "avant" le féminin, comme il vient "avant" le juste, la loi ou la morale]
- [(CinéAnalyse) : Il s'agit, quand le monde s'en va, de mourir vivant]
- L'intimité du corps, c'est qu'il expeause son espacement, ses parties décomposées, disséminées
- Deux couches enveloppent le psychisme : un pare-excitation (externe) et un Moi-peau (interne), lequel est une interface où s'inscrivent les traces, indices, signaux et signes
- Nous sommes les débris d'une explosion émotionnelle
- L'espace vocal engage le vécu de tous les sens
- En faisant de l'acte castrateur de Lorena Bobbitt un mythe, Mary Beth Edelson détruit la singularité de l'événement
- Le chef d'oeuvre artistique ou esthétique est ce qui parvient à susciter une émotion qui n'avait jamais été désignée auparavant
- La voix a troué l'espace
- Un contact immédiat de tous avec tous, telle est l'espérance du web
- Louanges du vécu (Martine Mardolle, 2007) [LDV]
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- O. : Elle a connu pas mal d'échecs dans sa vie. Elle a été journaliste avant de trouver cette idée, ostéopathe, qui colle à son corps comme à sa personnalité. Six ans d'étude, il fallait le vouloir. Elle est moins repliée sur elle-même, elle se ballade parfois au Cercle... A cause de qui? De Max? Je ne crois pas. Il doit y avoir autre chose.
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