Derrida
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                            NIVEAUX DE SENS :

 
   
Sébille Auch                     Sébille Auch
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Sébille Auch - "D'une perte de sens irrémédiable", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 8 juin 2001

 

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[Sébille Auch]

   
   
   
                 
                       

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Il arrive souvent à Sébille de dire qu'elle est née dans le Cercle. Son passé lui paraît si ténu qu'elle pourrait fort bien ne pas en avoir (ou bien en avoir un qui ne serait pas le sien). Famille bourgeoise traditionnelle dans un quartier bourgeois traditionnel avec une existence bourgeoise traditionnelle, ça donne quoi? Une jeune fille sans histoire qui n'en fait jamais, des histoires, quoiqu'il arrive. Jusqu'au jour où, inexplicablement, elle commence à fréquenter le quai de l'Idve, à y passer ses soirées, puis ses journées, à tel point que ses parents ne la voient presque plus, ou presque. Pourtant elle ne les a pas reniés. Elle n'a rien contre eux, non, vraiment, rien du tout. Elle a simplement changé d'univers. De temps en temps elle leur rend visite, elle leur montre le joli bébé que vient de lui donner Jonas Cadoudal, et elle rentre chez elle c'est-à-dire au Cercle idvien.

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[L'absurde est l'équivalent, sur le plan de l'existence, du doute méthodique : il laisse dans l'impasse, dans le déchirement de la vie]

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[L'envahissement de la scène artistique par le hors-sens témoigne de la mise en oeuvre d'une "nouvelle alliance", hétéronomique et anasémique, avec l'inconnu]

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[La remontée du sans-voix est incoercible]

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[Poussées de l'artSansVoix]

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[Converser, c'est faire en sorte qu'aucune interruption de la parole ne nous mette dans l'embarras]

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[(CinéAnalyse) : En parcourant le lieu désertique, aporétique, où surgit l'oeuvre]

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[(CinéAnalyse) : En faisant de l'aporie le fond même d'un film]

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L'espace vocal est dépourvu de surface

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On ne peut nommer la différance - qui est plus vieille que l'être lui-même - qu'à partir des tracés abrités dans la langue que nous parlons

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Sachant que la saturation sémantique est impossible, nous laissons aujourd'hui la dissémination nous faire perdre la tête

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Le vrai silence (abandon sonore) fait horreur et épouvante

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Quand le visage se sera complètement effacé, le monde entier sera blanc

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La psychanalyse a pour domaine l'impensé de la phénoménologie - laquelle ignore l'inconscient, noyau de l'être

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Le sens commun est l'accord entre humains qu'il nous faut nécessairement présupposer pour communiquer à autrui des connaissances et des jugements

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L'art abstrait est ce qui reste après que la voix se soit retirée

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Derrida a utilisé le terme "différance" dès 1963; il en élabore le concept entre 1959 et 1968

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L'Internet est sans voix ni visage

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L'émergence de l'art abstrait (vers 1907) suit de près celle du cinéma (1895) : il fallait l'imiter, le nier et aussi le dépasser

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Depuis que nous avons perdu la voix, nous dépendons des regards

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Une tache rouge ne dit rien

 


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