Derrida
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Athanasia Pernath                     Athanasia Pernath
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Athanasia Pernath - "L'autre côté de la rive", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 27 avril 2000

 

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[Athanasia Pernath]

   
   
   
                 
                       

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(Athanasia) : Je ne crois pas être mystique, pas pour un sou, malgré la réputation qu'on me fait.

(Athanasia) : Le corps, on ne peut pas l'opposer au mystère car il est lui-même mystérieux. Il y a en lui quelque chose d'invisible d'où provient la voix.

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[La voix s'entend comme celle d'un autre]

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[Pour qu'il y ait représentation, il faut que ce qui est représenté soit absent]

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[Ce qui est irreprésentable, il ne faut pas chercher à le représenter]

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[(CinéAnalyse) : En montrant l'impossibilité du concept moderne de l'art pur, souverain]

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Une voix au-delà de la voix est dans la voix

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Dans le nouvel espace topologique sans distance mesurable, la voix reprend le dessus sur l'écrit

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Il faut entendre la voix pour briser sa matérialité et rétablir le rapport d'altérité qui fonde l'inconscient et la parole du sujet

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Dans la voix, la présence de l'objet disparaît déjà, elle dérobe la chose même

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La voix produit une division entre le sujet et l'Autre

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L'autre côté de la rive (Athanasia Pernath, 2007) [LACR]

- Grégoire : Je me suis toujours demandé d'où venait son charme. Il y a bien sûr sa minceur, sa fragilité, sa tristesse. Il y a ses yeux : gris et très pâles, si transparents qu'on a l'impression de voir, derrière, quoi? Une chose indéterminée, immortelle... Mais je déraille. C'est moi qui devient mystique.

- Ouzza : Je crois que ses parents étaient assez religieux, mais pour ce qui est du protestantisme, du luthérianisme, elle y a renoncé depuis longtemps. S'il lui en reste quelque chose, elle n'en dit rien (sauf le petit accent étranger qui lui reste). Ses journées passent à restaurer de vieux objets, boîtes à bijoux, camées ronds qu'elle garde ensuite dans son sac et montre parfois dans les couloirs du loft. Un travail minutieux, absolument prenant, qui exclut tout contact avec l'extérieur.

- Grégoire : J'ai essayé de parler d'elle avec Pauline. Il y a entre elles plus qu'une complicité, une connivence, sur un certain sujet que je n'arrive pas à situer. Il me semble que si quelqu'un, un jour, comprenait l'une, il comprendrait l'autre.

- Valentin : Moi aussi je la trouve séduisante, fascinante, bizarrement et intensément corporelle, sans aucune coquetterie mais portant une attention infinie à chaque détail... Je ne pense pas qu'elle passe beaucoup de temps à s'habiller, mais il n'y a jamais rien de banal sur elle.

- Harald : Elle a dû tomber par hasard au 231 bis quai de l'Idve et y rester, oubliant tout le reste ou presque. Mais l'oubli ne s'oublie jamais, il se rappelle à nous dans son regard, justement.

 


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