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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le récit de l'Orloeuvre | Le récit de l'Orloeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Prigent Romulart - "L'acte rare", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 24 février 2001 - |
La reproduction de l'Orloeuvre équivaut à l'Orloeuvre |
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- Prigent : Dans son principe, la surface de présentation n'est pas tellement compliquée. C'est une surface sensible qui vibre à chaque son. Elle vibre depuis le départ, sans qu'on puisse localiser un commencement, un premier son. Ces vibrations ont la particularité d'être elles-mêmes sonores, de faire du bruit. La surface les "entend", c'est-à-dire qu'elle y répond à sa façon, en modifiant sa propre vibration. - Ignace : C'est un amplificateur? - Prigent : Non, car entre la cause et l'effet, la relation n'est pas mécanique. Elle est imprévisible. - Ignace : Il doit y avoir une règle de fonctionnement, même aléatoire. - Prigent : C'est une règle variable, mais qui existe, tu as raison. - Ignace : Je ne vois pas le rapport avec l'Orloeuvre. - Prigent : L'Orloeuvre ne se dépasse pas elle-même. Elle est à elle seule la totalité de ce qu'elle est, mais cette totalité présente une particularité : elle n’est pas totale. C’est cette apparente contradiction, cette singularité topologique qui permet à l'Orloeuvre de n’être ni immanente ni transcendante, c’est-à-dire de porter en elle-même, comme en un langage, sa propre solution au problème insoluble de son auto-présentation. |
Photo d'origine inconnue, © D.R. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Prigent PGFParcours IE.PDJ VR-LOL-MO Rang = OGenre = MH - NP |
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