Derrida
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Henri Géride                     Henri Géride
Sources (*) : Le lieu de l'Orloeuvre               Le lieu de l'Orloeuvre
Henri Géride - "Philosopher à corps perdu", Ed : Galgal, 2007, Page créée par le scripteur le 1er mai 2001

 

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[Henri Géride]

   
   
   
                 
                       

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La vie d'Henri Géride est plutôt heurtée. Après des études brillantes, il a entamé très jeune une carrière de conseiller commercial. Mais rapidement il en a eu assez de négocier des contrats et de se battre pour des débouchés commerciaux dont il ignorait à qui ils profitaient vraiment. Troquant le Ministère de l'Economie contre celui des Affaires Extérieures, il a entamé une nouvelle carrière de conseiller culturel. Mais il était démotivé, démoralisé, peu crédible, et n'a obtenu des postes qu'auprès de petits consulats où il s'ennuyait ferme. Le temps passait et se perdait, et voici qu'Henri a atteint l'âge de 50 ans. Il a décidé alors d'entamer une troisième carrière. Revenu définitivement à Paris, il n'a plus d'autre centre d'intérêt que ses premières amours : art et philosophie. Tant pis si ce choix l'oblige à pratiquer l'enseignement, une profession pour laquelle il n'a guère d'attirance (il n'enseigne ni la philosophie, ni l'art, mais l'économie). Mais son moral remonte peu à peu. Il trouve un réconfort chez ses nouveaux amis du Cercle, Amalqa, Pascual et quelques autres.

 

 

 

 

Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)

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[Être et vérité (ils vont ensemble)]

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[Philosopher, c'est jouir de la langue sans la posséder]

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Il n'est pas d'autre jouissance que ce vide au centre de ton être

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La vraie jouissance est illégale

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Jouir, une seule fois, cela vaut l'attente de toute une vie et la destruction de toutes les barrières

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Le point-source du temps est auto-affection pure

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Tout acte de discours comprend des aspects locutoires et illocutoires; et parfois même perlocutoires

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Jouir de la présence pure (ou pleine), c'est jouir d'un écoulement

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Philosopher, c'est renouer avec l'enfance de l'esprit : un monstre qui n'en finit pas de commencer - mais jamais par le commencement, toujours par le milieu

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L'omission de la question sur l'"être du temps" constitue la métaphysique comme telle

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Pour Heidegger, l'oeuvre d'art, la chose et le produit sont entrelacés dans une structure (stricture) où le produit se place "entre" la chose et l'oeuvre

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L'être n'étant rien, on ne peut en parler que "quasi"-métaphoriquement, avec la surcharge d'un trait supplémentaire, d'un "re-trait"

 


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