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C'est une jolie jeune femme vêtue avec soin, les cheveux châtains parsemés de mèches claires, un petit miroir toujours à portée de main. Partout où elle passe, elle distribue une touche de séduction juvénile.
Elle connaît tout le monde par son prénom, bavarde sans arrêt, chemine d'une personne à l'autre ou d'un groupe à l'autre - et c'est à peu près tout. Difficile de savoir ce qui occupe vraiment sa vie. Elle semble avoir peu d'amis parmi les jeunes, et quand elle revient vers ses Orloviens préférés, ce sont les vieux : Eugène et surtout Juliette.
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Propositions (les têtes de parcours sont entre crochets)
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- [L'artiste travaille sur ce qui, dans la figure, est défiguré]
- [Le surréalisme est une émanation du rêve comme la photographie est une émanation du réel]
- [(CinéAnalyse) : En racontant ma vie, en me racontant par les films : auto-bio-cinémato-graphie]
- L'art contemporain joue sur la défiguration
- Comme celui de la différance, le concept d'itérabilité a un statut étrange : c'est une autre sorte de concept, un "quasi-concept" hétérogène au concept philosophique du concept
- L'autre ne peut être signifié, ni présenté, mais seulement annoncé
- Le 23 juillet 1989, devant sa mère malade, apparemment guéri d'une paralysie défigurante, Jacques Derrida fait l'aveu en son corps d'une conversion illisible qu'il donne à lire
- L'étrangeté d'autrui est ma liberté (Violaine Rimoir, 2007) [LEAML]
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