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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Sources (*) : | |||||||||||||||||
Henri Atlan - "Les Etincelles de Hasard (tome 2 : Athéisme de l'Ecriture)", Ed : Seuil, 2003, p154 Limite du neant (Louise Tehanne, 2012) - |
Le néant biblique, "Aïn", (Il n'y a pas), ne doit pas être compris comme un vide absolu, mais comme une négation à travers laquelle le fini peut s'ouvrir sur l'infini |
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Qu'est-ce que le "je"? Certains mystiques le considèrent comme une illusion. C'est le cas des hassidim juifs, qui parlent de "bitoul hayech" (annulation du "il y a") pour désigner le dépassement de cette illusion. En hébreu, au mot "Yech" (il y a) s'oppose le mot "Aïn" (il n'y a pas); et l'on trouve dans la Cabale un jeu de mots pour opposer Aïn" à "Ani", qui s'écrit avec les mêmes lettres et veut dire "je". Qu'est-ce donc que ce "Aïn" qu'on peut aussi prononcer "Eïn"? Selon Henri Atlan, il ne s'agit ni de vide ni d'inexistence. Ce n'est ni une annulation de la réalité, ni un rien où tout disparaîtrait. C'est une délimitation, une détermination. Toute existence et tout objet fini doit être délimité(e), spatialement et temporellement. C'est le signe de la négation, d'une expérience de clôture qui est celle du "je". Définir un objet, c'est le circonscrire, et aussi ouvrir à une dialectique du fini et de l'infini. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Atlan XX°yapas Rang = XFGenre = DET - DET |
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