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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'événement | Derrida, l'événement | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, exappropriation | Derrida, exappropriation | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Déplier Ponge - Entretien avec Gérard Farasse", Ed : Presses Universitaires du Septentrion, 2005, pp34-35 Lire l'evenement (Prigent Romulart, 2010) - |
Derrida, l'idiome, le style | Un événement ne s'identifie jamais avec lui-même : il s'ex-approprie, se perd dans la répétition où il se rend lisible |
Derrida, l'idiome, le style | ||||||||||||||
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Quand arrive un événement, il est illisible. Sa singularité est irréductible. Ça arrive, mais ça n'arrive qu'à son bord, car pour que l'événement soit lu, il faut qu'il s'efface. APORIE : Un événement est unique, mais nous ne pouvons dire qu'il y a de l'événement que s'il est cité, répété, et alors il a perdu ce qui fait sa singularité, son idiome, son unicité. L'événement se perd lui-même, il s'ex-approprie. En signant un texte, un auteur le singularise (il se l'approprie). Mais si cet auteur se fait universel, s'il parle par concepts et généralités, ou s'il est lu, alors la signature est effacée. Il est dés-approprié. Sa langue n'est plus singulière, irréductible, unique, elle passe au langage commun - une exappropriation que Francis Ponge envisageait avec dégoût, mais qu'il ne pouvait pas empêcher. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaEvenement FE.LFE DerridaExapropGG.LGG DerridaIdiomeGN.KLL TEvenement Rang = LEvenementGenre = DET - DET |
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