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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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CinéAnalyse : impossibilité de l'art pur, souverain | CinéAnalyse : impossibilité de l'art pur, souverain | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Ah, l'art? Que des apories! | Ah, l'art? Que des apories! | |||||||||||||||
Athanasia Pernath - "L'autre côté de la rive", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 26 mai 2000 - |
Le cinéloft du Quai | [(CinéAnalyse) : En montrant l'impossibilité du concept moderne de l'art pur, souverain] |
Le cinéloft du Quai | ||||||||||||||
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1927. - L'Aurore (F.W. Murnau). 1948. - Les Chaussons rouges (Michael Powell et Emeric Pressburger). 1974. - Phantom of the Paradise (Brian de Palma). 1991. - La Belle Noiseuse (Jacques Rivette). 2005. - Le fantôme de Goya (Milos Forman). 2015. - Manifesto (Julian Rosefeldt). 2019. - Michel-Ange (Andreï Konchalovsky). 2022. - Caravage (Michele Placido). - Tár (Todd Field). - Showing up (Kelly Reichardt). --- Ce qu'on appelle aujourd'hui oeuvre d'art, c'est une chose décalée par rapport à elle-même. Elle est là, devant moi, sans préciser ce à quoi elle renvoie, sans aucune garantie de valeur ni d'authenticité, pas même les prix du marché. La plupart des films prétendent à ce statut, et quelques uns en font leur thème, comme Manifesto (Julian Rosefeldt, 2015), où l'art lui-même est personnifié par une actrice aux multiples identités.
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-------------- Propositions -------------- -Goya, artiste, personnifie les paradoxes et contradictions insurmontables de la modernité (Le fantôme de Goya, film de Milos Forman, 2005) |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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CineHantise CineArt AA.LBB ArtQuidBJ.DSS CineLoftWB.MMP MB_CineArt Rang = MGenre = - |
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