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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, métaphysique, sa clôture | Derrida, métaphysique, sa clôture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, auto - affection | Derrida, auto - affection | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La voix et le phénomène", Ed : PUF, 1967, p95 Monstre marin soufflant dans un coquillage (Giovanni Maglioli) - |
Tous les concepts de la métaphysique recouvrent l'étrange mouvement de la différence pure - ou auto-affection |
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Les concepts se présentent dans l'évidence de leur signification, par exemple actif/passif ou volonté/non volonté. Comme concepts métaphysiques, ils ne peuvent pas désigner ni décrire le processus qui les maintient vivants dans la langue. Jacques Derrida appelle ce processus auto-affection pure - bien que, selon lui, les concepts d'affection et d'auto-affection, comme ceux de pureté ou d'impureté [par exemple], soient tout aussi métaphysiques [pour déconstruire les concepts, il faut commencer par s'en servir]. Les mots utilisés, y compris celui de temps (et d'autres comme sens, idéalité, objectivité, vérité, intuition, perception, expression, etc... [Curieusement, dans cette liste de concepts qui échouent, Jacques Derrida ne met pas la voix elle-même].) n'opèrent que comme des métaphores et ne peuvent qu'échouer, et d'ailleurs tout langage ne peut qu'échouer à dire le mouvement de la différance car elle est irréductible à la simplicité d'un présent, car ce dont elle est la trace ne peut pas s'énoncer dans le discours. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaMetaphysique IJ.IIU DerridaAutoAffectionLD.LLD R.métaphysique Rang = HGenre = MR - IB |
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