Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le signe | Derrida, le signe | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacques Derrida - "La voix et le phénomène", Ed : PUF, 1967, p91 Paris-Paris (Re calcati, 1964) - |
Chez Husserl, le temps de crise est toujours celui du signe, car la possibilité de l'écriture habite l'intimité de sa pensée |
||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Pour Husserl, le signifiant s'efface dans la présence immédiate de la parole. Pour saisir le sens dans son originarité, il faut réduire la totalité du langage ou le limiter à une couche secondaire de l'expérience. Le paradoxe est que, par ailleurs, Husserl reconnaît qu'il n'y a de vérité scientifique que dans des énoncés, ou que les objets idéaux ne peuvent être constitués, transmis et répétés que par l'inscription. Il y a crise [dans le système husserlien] quand on risque d'oublier le sens originel du symbole. La parole est supposée transmise comme pensée pure, idéale. Mais elle ne se conserve que dans un mot, un écrit ou une lettre. Quand on veut réactiver le sens originel du symbole, il se peut que la lettre reste vide et que le sens soit perdu. C'est une menace qu'on ne peut conjurer qu'en répétant le sens d'origine, l'acte de pensée pure qui a créé l'idéalité du sens. |
En restaurant comme corps animé, comme chair, la sonorité inerte, on fait émerger dans la parole de la non-présence, de l'écrit. Dans la voix même, la différance opère et vient diviser la présence originelle. |
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaSigne LM.LLM U.crise Rang = MGenre = MJ - NA |
|||||||||||||||