Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, métaphysique, sa clôture | Derrida, métaphysique, sa clôture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le signe | Derrida, le signe | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La voix et le phénomène", Ed : PUF, 1967, p6 Le signe et le logos (Malavika Jibreel, 2010) - |
Le signe n'est soumis à aucune logique - contrairement à ce que croit la métaphysique, il n'est ni précédé ni justifié par le logos |
Autres renvois : | |||||||||||||||
A partir d'Henri Michaux |
|||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Pour Husserl, qui assume l'héritage d'une longue tradition métaphysique, il est évident que la réflexion sur le signe doit être précédée par la logique. Seule une théorie de la connaissance peut déterminer l'essence et l'origine du langage. Mais qu'est-ce qui justifie cette décision? Pourquoi le concept de signe ne précèderait-il pas le logos? Pourquoi faudrait-il que l'essence du langage soit déterminée par les normes de la logique? En s'appuyant sur ce présupposé, Husserl se dispense de méditer sur l'essence du langage, Malgré toutes sortes de précautions, la réduction phénoménologique s'opère dans les termes du langage ordinaire, dans l'horizon d'une rationalité dont le telos est celui de l'être comme présence. La grammaire pure d'Husserl ne couvre pas tout le champ de possibilité du langage. C'est une grammaire pure logique, qui ne concerne que l'apriori logique du langage. Cet apriori logique, découpé dans l'apriori général du langage, n'en est pas une simple région : il en est la norme, le telos, la destination - ce qui répète l'intention originelle de la métaphysique. |
[Mais l'écriture précède le langage, comme elle précède le sujet]. |
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaMetaphysique FZ.KLL DerridaSigneGE.FFO U.signe Rang = KGenre = DET - DET |
|||||||||||||||