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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Web : un savoir inappropriable | Web : un savoir inappropriable | ||||||||||||||||
Sources (*) : | La perspective immédiate | La perspective immédiate | |||||||||||||||
Pierre Lévy - "L'intelligence collective, Pour une anthropologie du cyberspace", Ed : La Découverte, 1997, p173 DŽfi du sans-temps (Andre Dautierre, 2011) - |
Le cyberespace pose le défi d'un savoir qui annulerait la temporalité |
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Pierre Lévy part de l'hypothèse que l'Espace du savoir sur Internet est immanent (il écrit ainsi, Espace, avec une majuscule). Dans cet Espace qui n'est ni celui du temps de l'horloge (l'heure mécanique, extérieure au sujet), ni même celui du temps réel (qui est suspendu lui aussi à une horloge), ce serait (enfin!) un temps intérieur qui pourraient prévaloir (à chacun sa temporalité). Vitesse et lenteur ne se référeraient qu'à elles-mêmes. Les temps jailliraient et se répondraient comme des rythmes. Dans un tel Espace du savoir, les arbres de connaissance ne tiendraient pas compte des durées. Le contexte serait continu, partagé au présent. Les rythmes vivants s'ajusteraient. Le temps ne coulerait plus depuis une fondation, il serait dynamique, toujours à l'état naissant, émergeant des actes et des histoires singulières. On ne pourrait pas y délimiter des territoires. --- Cette position s'oppose directement à celle de Paul Mathias pour lequel l'expérience intersubjective sur Internet est toujours marquée par un temps d'attente, le lag, un temps d'opacité qui empêche la continuité des savoirs. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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LevyPierre InternetSavoir CI.GHU IVocalImmediatVD.LLD Q.savoir Rang = LGenre = DET - DET |
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