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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le théatre, vibration inconnue | Le théatre, vibration inconnue | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Au diapason de la voix | Au diapason de la voix | |||||||||||||||
Antonin Artaud - "Oeuvres Complètes, tome 4", Ed : Gallimard, 1964, p62 - Le théatre et son double - |
Le théatre défend la voix | [Le théâtre appelle l'émission d'une note limite d'une pureté absolue, qui serait comme la partie organique d'une indescriptible vibration] |
Le théatre défend la voix | ||||||||||||||
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Le théatre d'Artaud a pour but la production d'une note unique, une note limite, qui ressemble à l'or alchimique : une substance purifiée, dégagée des conflits, détachée de la vérité, mêlant inextricablement l'abstrait et le concret. Cette substance d'une extraordinaire densité psychologique est vibratoire : sonore, ruisselante et dépouillée. Elle procède par gestes, cris, sons, et ne se fixe pas dans un langage. Les Mystères Orphiques ou ceux d'Eleusis y conduisaient sous la forme de la beauté pure dont parle Platon.
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-------------- Propositions -------------- -Il faut que le théatre purifie la voix comme l'alchimie purifie l'or : dans le drame d'un retour à l'unité primordiale -Le théatre ne se fixe pas dans un langage, mais se retrouve au point où l'esprit a besoin d'un langage : gestes, sons, paroles, feu, cris -Tout ce que le théatre devrait être, s'il savait parler le langage qui lui appartient, se trouve dans "Les Filles de Loth", de Lucas Van den Leyden (1509) |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Artaud ArtaudTheatre AA.BBB VoixVibrationUT.HEA ArtTheatreVV.VIB KE_ArtaudTheatre Rang = GGenre = - |
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