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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le discours | Derrida, le discours | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'écriture et la différence", Ed : Seuil, 1967, p411 Apocalypse, detail (Luca Signorelli, Orvieto, 1499-1502) - |
Un discours est un système dans lequel le signifié central n'est jamais présent hors d'un système de différences |
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Derrida définit le discours par opposition à la structure. La structure est organisée autour d'un centre, qui commande tous ses éléments. Ce centre peut être instable, mais il existe, c'est lui qui donne à la structure son poids, sa présence. Dans un discours, aucun signifiant ni signifié n'est central : tous les signifiants renvoient les aux autres à l'infini, en ne se référant qu'au système des différences entre eux. Notre époque est caractérisée par l'envahissement du langage, par l'expansion des discours au détriment des systèmes centrés (ceux qui sont organisés autour d'un savoir, d'une parole ou d'un dieu). Claude Lévi-Strauss a parlé de bricolage à propos de la façon dont il a utilisé les concepts légués par la tradition (comme l'opposition nature/culture) : il s'agissait d'utiliser par tâtonnement tous les termes du langage dont il avait besoin, sans trop de souci de cohérence. On peut dire que tout discours est astreint à un certain bricolage. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDiscours GI.TAI UDiscours Rang = MGenre = MR - IB |
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