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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'humain | Derrida, l'humain | ||||||||||||||||
Sources (*) : | L'humain est ce qu'il sera | L'humain est ce qu'il sera | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "L'écriture et la différence", Ed : Seuil, 1967, p427 Street Art (auteur inconnu) - |
Derrida, le jeu | Le nom humaniste de l'homme dans la pensée classique est celui de cet être qui a rêvé la présence pleine, le fondement rassurant, la fin du jeu |
Derrida, le jeu | ||||||||||||||
Le classique perdure | Le classique perdure | ||||||||||||||||
Rien n'assure que le garant réponde | Rien n'assure que le garant réponde | ||||||||||||||||
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Il faut à la pensée classique un centre : présence, savoir, conscience de soi ou homme. Par son usage de la structure, Lévi-Strauss rompt avec cette pensée. Sa conception du mythe est dépourvue de centre, elle procède du jeu, écartant toute origine et toute vérité. Mais l'ethnologue garde la nostalgie d'une éthique de la présence, d'une structure ordonnée du signe qui éviterait la substitution infinie, la surabondance, le hasard. Il n'invite pas à un nouvel humanisme (comme celui de Nietzsche), même si sa propre pensée transgresse les oppositions de l'humanisme classique. Il y a d'autres définitions de l'humanisme, par exemple celle de Lévinas (une éthique de l'altérité) ou celle de Nietzsche (l'affirmation joyeuse de l'innocence du monde). Mais toutes se définissent et s'orientent par rapport à l'humanisme classique qui reste, malgré sa dislocation, le point de repère. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaHumain CD.KJJ ProHumainEK.LKK DerridaJeuRA.KKM ProClassiqueCH.HUM ProGarantEH.HUI Uhumanisme Rang = OGenre = MK - NG |
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