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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Indistinction du père | Indistinction du père | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le Contemporain du Quai | Le Contemporain du Quai | |||||||||||||||
Malavika Jibreel - "La transmigration des signes", Ed : Galgal, 2007, Page créée le 8 octobre 2005 - |
[On ne peut ni contredire son père, ni l'approuver] |
Autres renvois : | |||||||||||||||
Filiations contemporaines |
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Une mère, on sait ce que c'est, mais on ne saura jamais ce qu'est un père. Faire le constat de sa carence, c'est déjà pas si mal. A partir de la procréation, on ne peut pas penser la paternité, mais à partir de l'être ou du logos, c'est concevable. Associée au logocentrisme et à sa logique, la paternité rassure (autrement, elle inquiète). Dans les démocraties, on n'est pas obligé d'assassiner son père. Il suffit de ne plus attendre de lui aucune réponse. Il en reste une écriture orpheline.
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-------------- Propositions -------------- -C'est à partir du logos que se donne à penser quelque chose comme la paternité -Le père est ce qui est -La spécificité de l'écriture (graphein) est l'absence du père : elle est une orpheline qu'aucune assistance ne vient prendre en charge -Dans nos sociétés, le père réel, qui incarne la fonction symbolique, est toujours carent par rapport au père symbolique -Une oeuvre (ergon) est un "pharmakon" dont aucun père ne répond - comme l'écriture |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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