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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, auto - affection | Derrida, auto - affection | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p221 Auto-affection du moi (Manuelle Astorba, 2011) - |
Derrida, l'autre | L'auto-affection du moi est comparable à l'onanisme : altérer la présence en restituant une autre présence qui n'est que représentation, supplément, altération |
Derrida, l'autre | ||||||||||||||
Derrida, la présence | Derrida, la présence | ||||||||||||||||
Le représenté s'absente | Le représenté s'absente | ||||||||||||||||
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Jacques Derrida décrit l'expérience auto-érotique de Jean-Jacques Rousseau. Elle correspond à une altération du moi qui est son origine même. Dans le temps où Mme de Warens disparaît, une suppléance devient possible (la masturbation) : une autre présence, immédiate mais symbolique. Elle est immédiate car la jouissance est effective, elle passe par le monde (elle n'attend pas). Mais elle est symbolique car elle n'est qu'illusion, frustration qui fait naître l'angoisse de mort, chimère. Elle donne le change. La présence est absolument différée, elle se dérobe. Elle est en même temps menace et protection, désirée et redoutée, transgressive et respectueuse de l'interdit. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaAutoAffection GO.KAQ DerridaSupplementMJ.LLL DerridaAutreCD.JOP VoixPresenceNU.UGS ProRepresentationMO.IKJ Q.moi Rang = KGenre = DET - DET |
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