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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Derrida, la présence | Derrida, la présence | ||||||||||||||||
Sources (*) : | |||||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p237-8 - - |
L'extériorité simple est une matrice qui exclut le supplément en le déterminant comme pure addition : structure qui vient s'ajouter à la présence pleine |
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L'extériorité "simple" (qui s'oppose à une autre extériorité, celle du supplément irréductible) est une structure formée de valeurs opposées : nature/culture, mal/innocence, histoire/origine, absent/présent, maîtrise/servitude, liberté/non liberté, etc.... Ces oppositions forment système. Elles s'ajoutent les unes aux autres, effaçant la trace : la parole s'ajoute à la présence; l'écriture s'ajoute à la parole vive; la culture à la nature, etc.... C'est le monde extérieur, celui de la métaphysique, qui se construit dans un processus logique d'exclusion du supplément, de ce mouvement actif, impossible à refermer, immaîtrisable, qui n'est pas additif mais productif car il est un autre nom de la différance. Par quoi cette exclusion est-elle portée? Par le désir. Pour Derrida, le désir désire l'extériorité, car tout désir est un désir de présence. Dans cette extériorité dite "simple" se rassemblent l'historique (le politique, l'économique, le technique) et le métaphysique. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida VoixPresence KM.IIU T.extint Rang = LGenre = MK - NG |
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