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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | |||||||||||||||||
Derrida, la réserve | Derrida, la réserve | |||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, retrait, effacement | Derrida, retrait, effacement | ||||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p126 "C" pour Schwitters (Klee, 1923) - |
Derrida, le sujet, le moi | La réserve constitue et efface en même temps, dans le même mouvement, la subjectivité dite consciente, son logos et ses attributs théologiques |
Derrida, le sujet, le moi | |||||||||||||||
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On peut considérer l'histoire de l'homme comme une articulation de l'histoire de la vie, et l'histoire de la vie comme une articulation de l'histoire du gramme, ce concept irréductible, imprenable, antérieur à tout système d'oppositions. Avec la conscience intentionnelle, le gramme apparaît comme tel, mais non présent, extériorisé dans des programmes [la tendance humaine à l'extériorisation des fonctions de la main et de la face, telle que décrite par Leroi-Gourhan]. La réserve dont parle Derrida (des gestes, des systèmes, des fichiers, des fonctionnements machiniques) élargit le mouvement de la différance. A la différence du logos, elle ne nécessite ni sujet, ni régime de justification métaphysique. Elle ne contient ni signe, ni écrits au sens courant : rien d'autre que le développement pro-grammatique de ces traces, ces mouvements d'écriture qu'aucune science ne peut décrire, pas même la grammatologie. --- |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaReserve SI.JHH DerridaRetraitER.TYY DerridaSujetDN.LLK UReserve Rang = IGenre = MR - IB |
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