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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la voix | Derrida, la voix | ||||||||||||||||
Sources (*) : | La Chose se dérobe | La Chose se dérobe | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "De la grammatologie", Ed : Minuit, 1967, p342 La chose derobee dans la voix (Athanasia Pernath, 2011) - |
CinéAnalyse : sur la consommation, pure présence vouée à la chute | Dans la voix, la présence de l'objet disparaît déjà, elle dérobe la chose même |
CinéAnalyse : sur la consommation, pure présence vouée à la chute | ||||||||||||||
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Il y a déjà de l'écriture dans la voix (ce qui conduit Jean-Jacques Rousseau à lui préférer le geste ou le regard). La chose ne peut pas pénétrer en moi, mais la voix comme signe sonore peut être intériorisée. Une sorte de fiction, sinon de mensonge, est installée à l'origine même de la parole. De même que le théatre nous affecte plus que le monde réel, ce simulacre nous touche plus profondément que la vérité. Rousseau a la nostalgie d'une présence qui ne serait pas mensonge, d'une écriture muette, sans société - ce que Derrida tient pour impossible, car l'archi-écriture précède la parole. ------ Ici Derrida situe la voix du côté de la supplémentarité et non pas de la présence; le pouvoir d'articulation de la voix n'est de l'ordre ni du visible, ni de l'audible, mais du supplément, c'est-à-dire du langage. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaVoix OD.PAL VoixChosePR.ESE VoixObjetaFE.SLO UVoix Rang = NGenre = DET - DET |
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