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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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L'opticalité moderniste | L'opticalité moderniste | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Plus d'un régime de vision | Plus d'un régime de vision | |||||||||||||||
Clement Greenberg - "Art et culture, essais critiques", Ed : Macula, 1988, p185 et 189 ST-Peinture (Clyfford St ill, 1951) - Detroit Institute of Art. |
La peinture moderniste écarte le facteur tactile (ombre et perspective) pour privilégier la visualité pure |
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Le paradoxe de l'évolution de la peinture française est qu'elle est parvenue au seuil de l'abstraction par un effort de transcription de l'expérience visuelle. La vérité de la nature et la vérité de l'art étaient censées aller de pair et la "pureté optique" résoudre les conflits entre l'art et la nature. Si l'expérience visuelle est purement bidimensionnelle, elle peut se passer de l'illusion de volume, qui est tactile, et des contrastes d'ombre et de lumière, qui servent à rendre visuellement un volume. En procédant ainsi, l'impressionnisme a voulu s'éloigner du non-visuel, plus que de la nature. Puis le cubisme, en voulant rétablir l'illusion sculpturale, a tenté de montrer simultanément tous les côtés d'un objet, écartant tout de qui provenait du monde non pictural. Il n'a fait que désavouer encore plus radicalement toute expérience non accessible à l'oeil. L'art pictural était réduit aux choses visuellement vérifiables, ce qui a conduit à renoncer à l'imagerie et à la représentation. L'art abstrait semble se satisfaire des seules normes du medium. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Greenberg ModernismeOptique DE.LDD ProVisionWM.IKD T.vision Rang = MGenre = MK - NG |
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