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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Chaque art moderniste se veut pur | Chaque art moderniste se veut pur | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Peinture et planéité | Peinture et planéité | |||||||||||||||
Clement Greenberg - "Art et culture, essais critiques", Ed : Macula, 1988, p219 La princesse Bibesco (Vuillard, 1912) - |
La décoration est le spectre qui hante la peinture moderniste |
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A propos de la peinture de Milton Avery, dont les moyens picturaux sont intrinsèquement décoratifs, mais qui rejette explicitement le décoratif. Les courants qui y sont les plus exposés (comme l'impressionnisme tardif et le fauvisme) doivent trouver les moyens de retourner le décoratif contre lui-même. Pour cela, ils augmentent la tension entre moyens décoratifs et fins non décoratives. Greenberg tient à une distinction tranchée entre art abstrait et simple décoration. Tous deux utilisent des moyens essentiellement visuels et occupent la surface de manière continue. Mais il n'y a dans la décoration ni la tension que le cubisme s'est employé à maintenir, ni le naturalisme qui est implicite dans la dimension même du tableau de chevalet : recréer l'unité instantanée de la nature en tant qu'elle constitue une vue. Le décoratif est une surface plane qui manque de cohérence et d'unité, qui déshumanise et opère dans le vide : ce dont on accuse parfois l'art abstrait. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Greenberg ProModernisme GU.LAU PeinturePlaneID.LID T.fantôme Rang = LGenre = MR - IB |
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