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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Sur la perspective illusionniste. | Sur la perspective illusionniste. | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Une lumière qui protège l'ombre | Une lumière qui protège l'ombre | |||||||||||||||
Clement Greenberg - "Art et culture, essais critiques", Ed : Macula, 1988, p196 Elisabeth au piano (Thomas Eakins, 1875) - |
Dans le clair-obscur, la lumière et l'ombre se succèdent comme symboles du connu et de l'inconnu, du bien et du mal |
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A propos d'Eakins qui utilisait des procédés mathématiques rigoureux pour composer ses tableaux. L'ombre et la lumière, qui prédominent dans son langage, étaient le véhicule favori de l'expression poétique victorienne (p195). Eakins module parfois ses couleurs, mais le clair-obscur est utilisé dès qu'intervient un facteur dramatique ou psychologique. On retrouve un jeu d'oppositions analogue chez certains écrivains américains comme Hawthorne, Poe, Melville, etc... Plus encore que la perspective, le contraste des valeurs a été un des moyens utilisé par l'art occidental pour créer l'illusion tridimensionnelle. ------- La peinture classique qui s'appuie sur les ombres et les lumières pour produire un effet de profondeur (en même temps qu'un effet théatral) charrie le système d'oppositions dites de la métaphysique et les valeurs qui y sont associées. La crise de ce système, qui a commencé avec l'impressionnisme, est repérée en philosophie par (entre autres) Nietzsche et Heidegger. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Greenberg ArtPerspective WC.LOB ProLumiereKV.LKV T.lumière Rang = NGenre = MR - iVoix |
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