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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, economimesis | Derrida, economimesis | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Economimesis", Ed : Aubier-Flammarion, in "Mimesis des articulations", 1975, p64 Femme avec branches de fleurs - |
Derrida, le beau | Le beau se dit d'un passage à la limite entre l'acte producteur et le produit, entre la subjectivité productrice et l'objet |
Derrida, le beau | ||||||||||||||
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Qu'est-ce qui est beau, est-ce l'objet lui-même, le produit, ou l'art - c'est-à-dire un rapport au produit? On ne peut pas séparer l'un de l'autre. La beauté n'est pas dans l'objet seul, mais dans ce qui l'entoure, le parergon. Dans son rapport à la nature, l'artiste imite (mimesis) au sens de la natura naturans (opération de la nature qui se produit elle-même) et aussi de l'acte divin (créateur du monde). Cette imitation ne porte pas seulement sur le produit (ressemblance de l'objet), mais aussi sur la production (ressemblance de l'acte de produire). L'artiste (ou le génie) est comme Dieu, et aussi comme la nature. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaArt OH.KLL DerridaEconomimesisGE.LEG DerridaBeauFF.LFF UBeauSubj Rang = KGenre = MR - IB |
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