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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la bouche | Derrida, la bouche | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le sujet profère "Je suis" par la bouche | Le sujet profère "Je suis" par la bouche | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Le Toucher, Jean-Luc Nancy", Ed : Galilée, 2000, p38 La bouche entre corps et ame (Aleth Eljinek, 2010) - |
Derrida, l'espacement | Il n'y a aucune commune mesure entre le corps et l'âme; entre ces deux étendues s'ouvre un lieu ni sensible, ni intelligible : la bouche |
Derrida, l'espacement | ||||||||||||||
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Derrida cite JL Nancy qui commente les Méditations de Descartes et l'aphorisme de Freud : Psyche est étendue, n'en sait rien. Selon Nancy, le seul point de conjonction, d'unité entre l'âme et le corps (l'unum quid de Descartes) est la bouche. Dans la bouche, ce lieu unique et paradoxal, les deux sortes d'étendue se croisent, sans se toucher. En ce lieu, deux espaces incommensurables s'ouvrent et s'écartent : le lieu d'un intervalle, d'un espacement, d'une ouverture. La bouche évoquée par Jean-Luc Nancy est un lieu incorporel, ni sensible, ni intelligible, : cavité, béance, gouffre, abîme. En elle, avant toute figure, au plus proche de la naissance, commence une mise en mouvement, une expérience cinétique, un déplacement ou quasi-déplacement [entre le corps et l'âme]. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaBouche CV.NSE DescartesJeSuisCV.LDV DerridaEspacementVE.LVE U.bouche Rang = JGenre = DET - DET |
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