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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le cinéma | Derrida, le cinéma | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Gramophonie contemporaine | Gramophonie contemporaine | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Lecture de "Droit de Regards" de Marie-Françoise Plissart", Ed : Minuit, 1985, pX - |
La voix prise dans le continu | Au cinéma, continuellement, on voit parler : la voix est toujours présente comme telle |
La voix prise dans le continu | ||||||||||||||
CinéAnalyse : la présence dans le temps où elle se brise | CinéAnalyse : la présence dans le temps où elle se brise | ||||||||||||||||
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Par opposition à l'oeuvre de Marie-Françoise Plissart, un roman-photo qui n'est pas véritablement un roman car c'est une suite d'images silencieuses, Derrida définit le cinéma. Le cinéma a toujours été parlant, y compris le cinéma muet qui avait besoin de légendes pour raconter ses histoires. Au contraire, l'oeuvre de MFP est sans voix ni légende. Au cinéma, le mouvement est continu, même s'il y a aussi parfois des arrêts. Dans l'oeuvre photographique de MFP, ce sont des immobilités qui sont captées, la discontinuité est permanente. Le cinéma se déroule dans le temps, tandis que la succession des photos peut être considérée comme instantanée ou simultanée (on les regarde les unes après les autres, il n'y a pas de durée). Dans un cas (MFP), aucune présence ne se stabilise, il n'y pas de sens, pas d'orientation, pas même d'énoncé, tandis que dans l'autre (cinéma), le discours est irréversible, orienté, toujours prévalent. |
Amen (Costa-Gavras, 2002). |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaCinema EG.ARO CtpGramophoneNG.LGG VoixContinuNC.LNC ProPresenceDB.LDF WCinemaVoix Rang = OGenre = MH - NP |
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