Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Le monde s'écoule | Le monde s'écoule | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le cinéma vocalise l'espace | Le cinéma vocalise l'espace | |||||||||||||||
Ozzy Gorgo - "L'écranophile", Ed : Guilgal, 1988-2019, Page créée le 12 juillet 2006 - |
L'écranophile en voix off | Le testament du docteur Mabuse (Fritz Lang, 1933) : Ce qui nous relie à un film ressemble au cordon ombilical : un flux sonore continu qu'il ne faut surtout pas couper avant la fin |
L'écranophile en voix off | ||||||||||||||
CinéAnalyse : la hantise d'un "avant" | CinéAnalyse : la hantise d'un "avant" | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Je m'inspire ici du commentaire fait par Michel Chion du Testament du Dr Mabuse (pour ce qui concerne la comparaison de la voix et de l'ombilic, Chion cite lui-même Denis Vasse). Je m'installe au cinéma. Quand le film commence, la lumière s'éteint, le son m'enveloppe. Je suis dans une situation passive, comme un foetus dans le ventre de sa mère. Les séquences s'enchaînent, j'absorbe les images, les voix et les bruits. Je ne dis rien, j'ai perdu la parole. Je dépends entièrement du réalisateur : c'est lui qui dirige mon regard, me fait tourner la tête, me déplace, me fait passer d'un champ à un autre. La fin du film me sort de ma passivité. Je ne crie pas, mais je passe d'un régime à un autre, d'un univers clos à un monde ouvert. Je sors du cinéma pour arriver dans la rue. Je respire un grand coup. |
|
|
||||||||||||||
|
|||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Films ProContinu WF.ILM EVocalCinemaGR.GGR CinemaChrono1933.LA.NGL ArchiAimanceEE.LKE zm.Lang.1933 Rang = NGenre = MH - NP |
|||||||||||||||