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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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La chair, la voix | La chair, la voix | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Cinéma, la voix - je | Cinéma, la voix - je | |||||||||||||||
Michel Chion - "La voix au cinéma", Ed : Cahiers du Cinéma, 1982, p56 - |
Une voix réduite à une respiration très proche nous fait ressentir notre corps comme corps de l'autre |
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Il arrive qu'au cinéma il n'y ait ni dialogues, ni textes, ni mots, mais seulement une respiration très proche vis-à-vis de laquelle nous n'arrivons pas à prendre nos distances. C'est le cas par exemple dans Elephant Man (David Lynch, 1982), quand l'homme-éléphant est amené, cagoulé, dans le bureau du docteur. A ce moment, le spectateur n'a pas encore vu son visage. Il entend sa respiration, ses soupirs, sa déglutition, il vibre avec lui, il ressent sa peur dans son propre corps. Il ne peut que s'identifier à lui, s'impliquer dans la scène - comme si le corps du monstre était le sien propre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Chion ProChair EE.LEE CinemaVoixJeGR.LER S.altéritéGenre = MH - NP |
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