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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
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Le cinéma, machine imitante | Le cinéma, machine imitante | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Sur l'artPresence | Sur l'artPresence | |||||||||||||||
André Bazin - "Qu'est-ce que le cinéma?", Ed : Cerf-Corlet, 2002, p144 - |
L'écranophile en voix off | Les parents terribles (Jean Cocteau, 1948) : par un cadrage épousant le rythme pur de l'attention, faire éprouver le sentiment d'une présence totale à l'événement |
L'écranophile en voix off | ||||||||||||||
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Selon André Bazin, le premier à avoir réussi à atteindre cet objectif est Jean Cocteau avec Les Parents terribles. Dans sa mise en scène, le plan traditionnel se dissout. Seul subsiste le cadrage, cristallisation passagère d'une réalité dont on ressent la présence. A la place de la profondeur de champ privilégiée par Welles ou Renoir, Cocteau privilégie une rapidité diabolique du regard, qui n'utilise la technique du champ/contre-champ que pour faire prévaloir le point de vue du spectateur (caméra subjective). |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Films CinemaTechnique ED.LLE ArtPresenceSI.LLI CinemaChrono1948.CO.CTE zm.Cocteau.1948 Rang = OGenre = MH - NP |
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