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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la langue | Derrida, la langue | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la différance | Derrida, la différance | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Marges de la philosophie", Ed : Minuit, 1972, p77, in "Ousia et grammè" Vieille differance (Sebille Auch, 2010) - |
Derrida, la garde | On ne peut nommer la différance - qui est plus vieille que l'être lui-même - qu'à partir des tracés abrités dans la langue que nous parlons |
Derrida, la garde | ||||||||||||||
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La différance, dit Derrida, est ininscriptible, impensable, innommable. Sa trace est enfouie, effacée, oubliée. Si l'on ne prend comme angle de vue que la forme de la présence, on peut dire qu'elle a complètement disparu. Elle est absente en tant que l'absence s'opposerait à la présence (c'est-à-dire préserverait la place de ce qui est absent), elle n'a laissé aucune trace (si l'on prend la trace comme un objet présent, une apparition qui peut exister ou ne pas exister). Mais dans la langue que nous parlons - qui pourtant n'est rien d'autre, elle aussi, que le texte métaphysique -, l'effacement lui-même laisse une trace, un tracé, à partir duquel "la métaphysique et notre langue peuvent faire signe vers leur propre transgression". On ne peut pas nommer la différance dans sa [supposée] présence, mais on peut l'expérimenter en s'ouvrant vers un autre texte, une autre écriture. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaLangue CD.KLL DerridaDifferanceGV.LPO DerridaGardeCE.ILL T.vieux Rang = NGenre = DET - DET |
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