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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Le dessin d'Adami, voix muette | Le dessin d'Adami, voix muette | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Couleurs et mots, entretiens avec Valerio Adami", Ed : Cherche-Midi, 2000, p38-42 Portrait de Wagner (Valerio A dami, 1982) - |
La main pense au présent | La main du dessinateur a pour fonction d'arrêter l'oeuvre : c'est elle qui fait de lui un artiste |
La main pense au présent | ||||||||||||||
Signer, c'est arrêter | Signer, c'est arrêter | ||||||||||||||||
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Dans l'expérience d'Adami, il semble que ce soit la main qui commande. Elle joue un rôle plus important que le regard, comme si le dessinateur était aveugle. Quand il fait des choix, le dessinateur négocie avec la main. Il puise dans sa mémoire et dans sa culture, et une décision se prend : la structure s'arrête. C'est, selon Adami, le dessin même qui décide que la composition est aboutie. Une voix intérieure lui dit : "Arrête-toi là". Derrida ne reprend pas ce terme de voix. Il parle d'ordre, de commandement, de loi, de conquête. Une interprétation fixe les choses, les scelle. ------- On peut considérer ici que, pour Derrida, Adami est l'artiste-type. Ce qu'il dit de lui s'applique à l'art en général. Il faut une main, un dessinateur, un artiste, pour laisser place à l'oeuvre. L'artiste n'est pas un auteur, il participe du parergon, de l'encadrement de l'oeuvre. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaArt JN.JKK AdamiParcoursFD.GQQ VoixMainVA.JIO OeuvreArretDM.LDM T.delart Rang = NGenre = MJ - NA |
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