Lire Derrida, L'Œuvre à venir, suivre sur Facebook | Le cinéma en déconstruction, suivre sur Facebook |
TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, l'art, l'oeuvre | Derrida, l'art, l'oeuvre | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Interpréter, c'est savoir | Interpréter, c'est savoir | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Le cinéma et ses fantômes (interview dans les Cahiers du cinéma, avril 2001)", Ed : Cahiers du Cinéma, 2001, p84 Decouverte (T. Allen) - |
Derrida, le musée | Il ne faut pas opposer le film-image au livre-texte : un film est aussi texte, et un livre est aussi image - dans les deux cas, l'oeuvre est une interprétation soumise à interprétation |
Derrida, le musée | ||||||||||||||
Orlolivre : Prétendre à l'art, sans art | Orlolivre : Prétendre à l'art, sans art | ||||||||||||||||
Derrida, texte, hors - texte | Derrida, texte, hors - texte | ||||||||||||||||
Derrida, le cinéma | Derrida, le cinéma | ||||||||||||||||
Pour l'acquérir, cliquez sur le livre
|
Interrogé par les Cahiers du cinéma, Jacques Derrida compare le film Shoah (Claude Lanzmann, 1985) au livre L'Espèce humaine, de Robert Antelme (1947). Shoah n'est pas seulement une archive, un corpus d'images, c'est aussi un texte langagier. La parole n'y est pas capturée telle quelle. Elle est sans cesse mise en situation, interrompue, relancée, répétée. C'est, comme toute œuvre, une interprétation, qui s'offre à l'interprétation du destinataire (le spectateur). Dès qu'on la rend accessible, n'importe qui peut à son tour l'interpréter. Il y a interprétation de l'interprétation. Dans les deux cas, même si l'impact n'est pas le même, les témoignages s'appuient sur des images. L'archive est sur le chemin de l'inconscient, elle contribue à la levée du refoulement.
|
|
|
||||||||||||||
| |||||||||||||||||
Création
: Guilgal |
|
Idixa
|
|
||||||||||||
Derrida DerridaArt LI.GOP InterSavoirKG.LKG DerridaMuseeIG.LIG ArchiOeuvreArtJL.LJL DerridaTexteJI.LKI DerridaCinemaGB.LDF UOeuvreInterpretation Rang = OGenre = MK - NG |
|||||||||||||||