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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le logos, logocentrisme | Derrida, le logos, logocentrisme | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, père / fils | Derrida, père / fils | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p95 Le logos est un fils (Patrice Dufebure, 2010) - |
CinéAnalyse : Place aux pères qui nous ont lâchés | Le logos est un fils dont l'origine est son père, et qui se détruirait sans sa présence |
CinéAnalyse : Place aux pères qui nous ont lâchés | ||||||||||||||
Derrida, l'origine | Derrida, l'origine | ||||||||||||||||
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Chez Platon, l'origine et le pouvoir de la parole sont assignés à la position paternelle. Toute la métaphysique occidentale s'appuie sur cette contrainte structurale. Ce n'est pas le logos qui est le père (puisque le logos est le fils), c'est qu'il faut un père, un sujet parlant, présent (avec sa voix), pour qu'il puisse y avoir logos. Cette présence du père est une assistance, un garant [de la vérité du logos]. Le père vivant se tient debout à côté du fils. Il le soutient en son nom propre. Les logoi sont des enfants. Que se passe-t-il si le père n'est pas présent? Le sujet risque d'aller chercher sa vérité non pas en lui-même (dans cette présence garantie par le père), mais ailleurs, par exemple dans l'écriture. C'est ce que veut éviter Platon. Cette formulation n'est pas, pour Derrida, une métaphore : le discours est effectivement structuré comme un organisme vivant, avec un commencement et une fin, présenté par une personne dont il est le procréateur. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaLogocentrisme ED.DDK DerridaPereFilsDL.JJI CtpPereGF.LLO DerridaOrigineLN.SSD T.filiation Rang = NGenre = DET - DET |
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