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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, le logos, logocentrisme | Derrida, le logos, logocentrisme | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, le supplément | Derrida, le supplément | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, pp152-3 Socrate selon L.G. Gerome (1861) - |
Derrida, l'origine | L'inversion du pharmakon est à l'origine de l'épistémé, du logos et de la soumission à la loi |
Derrida, l'origine | ||||||||||||||
Derrida, la loi, le droit | Derrida, la loi, le droit | ||||||||||||||||
Derrida, le pharmakon | Derrida, le pharmakon | ||||||||||||||||
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Par ses dialogues, Platon cherche à exorciser ce supplément qui se manifeste à travers les remèdes magiques, l'éloquence des sophistes ou l'errance de l'écriture. La maîtrise de soi permet d'appeler l'objet le plus digne : l'idée, le savoir. C'est l'ouverture à la vérité identique à soi et toujours la même. En s'y soumettant, le sujet accepte aussi le père, le roi, le chef, le capital, la lumière, etc... Il se reconnaît comme le fils ou le représentant de la loi, participant à une communauté, une ville où il demeure. Cette inversion n'annule pas le supplément, elle s'inscrit dans son économie. Elle produit un autre pharmakon (ou pharmoko-logos, p156) qui passe par l'envoûtement de la voix nue, de la parole vive. Socrate séduit, il emporte le for intérieur, la conviction intime qui fait la force de l'épistémé. Le logos est une antidote et la connaissance est un philtre. Grâce à eux, la drogue (le pharmakon) est transformée en remède. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaLogocentrisme EQ.GGJ DerridaSupplementJC.JJD DerridaOrigineLI.LLO DerridaLoiCJ.HHJ DerridaPharmakonEL.LEL T.savoir Rang = NGenre = MR - IB |
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