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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la peinture | Derrida, la peinture | ||||||||||||||||
Sources (*) : | La pensée laisse en suspens | La pensée laisse en suspens | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, p232 L'actrice (George Lambert) - |
Le représenté s'absente | La peinture au sens courant est une peinture de peinture : elle révèle l'essence de la pensée comme représentation |
Le représenté s'absente | ||||||||||||||
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Derrida commente le Philèbe, où Platon met en scène deux personnages : le scribe et le peintre. Le premier inscrit dans l'âme la sensation, le second la peint telle qu'elle est dite. S'il y a complicité entre écriture psychique et peinture, entre dedans et dehors, on est (selon Platon) dans la vérité. Derrida reprend cette logique logocentrique, mais, pour lui, l'acte du peintre est supplémentaire. Le dehors s'ajoute. Il peut se situer sur le premier versant de la mimesis (imitation fidèle), mais aussi sur le second (simulacre) : la duplicité de la mimesis infecte la peinture. Celle-ci opère comme visibilité intelligible capable de restaurer l'image nue de la chose (l'idéal de Platon), mais aussi comme supplément de la première opération. |
Pour Valerio Adami, ami de Jacques Derrida, peindre signifie penser, c'est-à-dire représenter. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaPeinture GD.HIO ProPenseeDP.GGA ProRepresentationDC.QQD U.révélation |
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