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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Rien n'assure que le garant réponde | Rien n'assure que le garant réponde | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, la dissémination | Derrida, la dissémination | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "La Dissémination", Ed : Seuil, 1972, pp393-4 Tout droit toujours (A. Oeh len, 1998) - |
Derrida, l'origine | Dès le commencement, le discours d'assistance qui force à dire "je" (simulacre d'identité) prolifère avec le texte |
Derrida, l'origine | ||||||||||||||
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Le discours d'assistance est cette scène qui se profère au présent (dont trois côtés sont visibles et le quatrième est un miroir). Une voix vous interpelle, vous dit "vous", vous appelle, vous invite à assister au spectacle actuel. Sa prévenance est inlassable. Elle vous assiste. Vous n'êtes qu'un fils égaré. Qui s'adresse à vous? Le "je" [votre propre je] qui vous inscrit dans la machine. Ce "je" est la fiction de l'existence. C'est un pur lieu de passage qui vous livre aux opérations de substitutions qui s'inscrivent sans vous. Il porte la dissémination. La violence du coup qui vous est porté vous force à être dit. Il est une force d'écriture qui, du même coup, déclenche le récit et entretient le simulacre. Ce discours prétend au hors-texte. Il se veut immédiat, comme la parole franche d'un complice. Il maintient l'identité qu'il disloque. Il prétend énoncer la vérité, mais il vous trompe. S'il n'y a rien avant le texte, d'où vient-il? Il était déjà dans la scène, dans le texte, dès la première trace, comme effet de miroir, lui appartenant et ne lui appartenant pas. Le "je" divise le présent, et votre consistance réside dans cette dualité. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida ProGarant GJ.KKI DerridaDisseminationMC.HHS DerridaOrigineKC.LLP T.prolifération Rang = MGenre = MK - NG |
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