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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la différance | Derrida, la différance | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'espacement | Derrida, l'espacement | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Positions", Ed : Minuit, 1972, p23 Couverture d'un livre de Von Kaulbach - |
Derrida, le concept | Le jeu de la différance fait qu'aucun mot, aucun concept ne vient résumer et commander depuis un centre le mouvement et l'espacement textuel des différences |
Derrida, le concept | ||||||||||||||
Oeuvre, espacement | Oeuvre, espacement | ||||||||||||||||
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L'écriture ne commence jamais, et le livre ne finit pas non plus (il a perdu son unité). Ni l'un ni l'autre n'ont de centre. Que je veuille dire quelque chose, ou que je ne veuille rien dire, je suis dans le même jeu, le jeu de la différance. La chaîne des substitutions ne s'arrête pas. Dans l'espace que produit ce mouvement, il y a les vieux mots (les idéalités). Ils restent intacts, mais sont emportés eux aussi dans la chaîne. La façon singulière d'écrire de Jacques Derrida, c'est faire en sorte (par précautions, enchevêtrements, concepts, citations, suppléments, néologismes et métonymies) que la circulation entre "vouloir-dire" et "ne-rien-vouloir-dire" se poursuive indéfiniment. Aucun mot, pas même celui de différance, ne peut résumer et commander ce mouvement. Aucun concept ne peut (re)prendre la place laissée vacante du signifié transcendantal. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDifferance JT.JJF DerridaEspacementGF.HHK DerridaConceptJJ.LJJ ArchiOeuvreEspacementCN.LDD T.centre Rang = LGenre = MR - IB |
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