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TABLE des MATIERES :

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Sur Kant (cheminements)                     Sur Kant (cheminements)
Sources (*) :                
Emmanuel Kant - "Fondements de la métaphysique des moeurs", Ed : Gallimard (Pléïade, Oeuvres philosophiques tome 2), 1985,

Fondements de la métaphysique des moeurs (Emmanuel Kant, 1985) [FMM]

   
   
   
                 
                       

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Table

p243 : Préface.

p250 : Première section : Passage de la connaissance rationnelle commune de la moralité à la connaissance philosophique.

p266 : Deuxième section : Passage de la philosophie morale populaire à la métaphysique des moeures.

p315 : Troisième section : Passage de la métaphysique des moeurs à la critique de la raison pure pratique.

 

 

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Formulations à partir de ce texte (les têtes de chapitre sont entre crochets) :

 

Impératif catégorique de Kant : "Agis uniquement d'après la maxime qui fait que tu peux aussi vouloir que cette maxime devienne une loi universelle"

Impératif pratique de Kant : "Agis de telle sorte que tu traites l'humanité comme une fin, et jamais simplement comme un moyen"

La volonté est une faculté de se déterminer soi-même à agir conformément à la représentation de certaines lois

La nature est l'existence des objets en tant qu'elle est déterminée selon des lois universelles

Agis comme si la maxime de ton action devait être érigée par ta volonté en loi universelle de nature

Les êtres raisonnables sont appelés des personnes parce que leur nature les désigne déjà comme des fins en soi

La raison franchirait toutes ses limites si elle se proposait d'expliquer comment la liberté est possible

Quand la volonté est hétéronome, elle ne se donne pas à elle-même sa loi, c'est l'objet qui la lui donne par son rapport à elle

L'homme, et en général tout être raisonnable, existe comme fin en soi, et non pas simplement comme un moyen

Le concept d'un monde intelligible n'est qu'un point de vue que la raison se voit obligée d'adopter, afin de se concevoir elle-même comme pratique

Un être raisonnable doit toujours se considérer comme législateur d'un règne des fins fondé sur la liaison de tous les êtres raisonnables par des lois communes

A tout être raisonnable qui a une volonté, nous devons attribuer nécessairement aussi l'idée de liberté

Toute connaissance rationnelle est ou bien matérielle et se rapporte à quelque objet, ou bien formelle et ne s'occupe alors que des règles de la pensée

La raison est supérieure à l'entendement, car elle manifeste sa pure spontanéité dans les idées, tandis que l'entendement soumet les représentations sensibles à des règles

Ce qui a une dignité est supérieur à tout prix, et par suite n'admet pas d'équivalent

Comme membre d'un monde intelligible, chacun veut le devoir moral; et comme membre d'un monde sensible, chacun veut le bonheur

Le concept du bonheur est si indéterminé que, malgré le désir qu'a tout homme d'être heureux, personne ne peut jamais dire ce que véritablement il désire et veut

Le bonheur est le bien-être complet et le contentement de son état en vue de sa conservation

La volonté bonne, c'est-à-dire le pur vouloir d'être bon, est le bien suprême et la condition indispensable de ce qui nous rend dignes d'être heureux

Le concept d'un impératif catégorique en fournit aussi la formule

Le devoir est la nécessité d'agir conformément au principe d'autonomie de la volonté

Qu'il y ait du devoir, dont le principe est l'impératif catégorique, ne résulte pas de la nature humaine, mais d'une volonté légiférant universellement, sans aucun appui

Le devoir est la nécessité d'accomplir une action par respect pour la loi

La dignité d'un être raisonnable, c'est qu'il n'obéit à aucune autre loi qu'à celle qu'il établit lui-même

Tout être qui ne peut agir autrement que sous l'idée de la liberté est réellement libre

La liberté est la propriété qu'ont les êtres vivants, en tant qu'ils sont raisonnables, de pouvoir agir indépendamment de causes étrangères qui la détermineraient

Ni la liberté ni la nécessité ne sont des concepts de l'expérience; pourtant il faut les supposer, sans quoi il n'y aurait ni connaissance possible ni dialectique de la raison

Une loi morale est fondée dans les seuls concepts de la raison pure; elle implique en elle une absolue nécessité

Seule la simple loi pour elle-même peut être un objet de respect, et donc un commandement

J'entends par "maxime" le principe subjectif du vouloir, et par "loi pratique" son principe objectif

Un impératif, ou commandement de la raison, est un principe objectif contraignant valable pour tout être raisonnable en tant que tel

La raison commande par elle-même, selon ses principes a priori, indépendamment des faits et des actions

Le respect est la conscience que j'ai de la détermination immédiate de la volonté par la loi

Dans les choses morales, il est préférable de s'en tenir au jugement de la raison commune

L'autonomie de la volonté est le principe de la dignité humaine et le principe suprême de la moralité

L'hétéronomie de la volonté est la source de tous les principes illégitimes de la moralité, qu'ils soient fondés sur le bonheur ou la perfection

La volonté absolument bonne ne contient que la forme du vouloir en général

La volonté est la faculté de choisir cela seulement que la raison reconnaît comme pratiquement nécessaire, c'est-à-dire comme bon

Principe de l'autonomie de la volonté : "L'action de tout être raisonnable doit être conçue comme volonté instituant une législation universelle"

Fondements de la métaphysique des moeurs (Emmanuel Kant, 1985) [FMM]

 


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Sources
KantCheminements

ZZ.FMM

YYA.1985.Kant.Emmanuel

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