Derrida
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TABLE des MATIERES :

                            NIVEAUX DE SENS :

 
   
Merleau - Ponty                     Merleau - Ponty
Sources (*) :                
Maurice Merleau-Ponty - "Le visible et l'invisible", Ed : Gallimard, 1964,

Le visible et l'invisible (Maurice Merleau-Ponty, 1964) [VI]

   
   
   
                 
                       

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Table

p7 : Avertissement

p15 : Le visible et la nature : L'interrogation philosophique

p17 : Réflexion et interrogation

p75 : Interrogation et dialectique

p142 : Interrogation et intuition

p172 : L'entrelacs - le chiasme

p205 : Annexe

p207 : L'être préobjectif : le monde solipsiste

p217 : Notes de travail

 

 

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Formulations à partir de ce texte (les têtes de chapitre sont entre crochets) :

 

[Être, c'est s'entendre parler : "Je suis un être sonore"]

[Le corps nous unit directement aux choses, par sa propre ontogenèse]

[Le mode propre de notre rapport à l'Etre est un "Que sais-je?"]

[Pour comprendre l'être, le néant, le langage, il faut d'abord s'ouvrir à l'être]

[Il y a être, il y a monde, il y a quelque chose]

[Il n'y a pas d'autre assise de la vérité que la certitude d'un monde sensible qui nous soit commun]

[Ici et maintenant, la chair, visible et voyante, est aussi l'universelle intercorporéité]

Il n'y a que de l'Être; chacun se sait et sait les autres inscrits au monde

La vision ne diffère de l'imaginaire que par la recherche de la preuve

Le néant n'est concevable qu'appelé par l'Être, car le vide à lui seul ne serait rien

Le langage met en mots le silence de l'Être; en lui s'enroulent le visible et le vécu

La foi perceptive ouvre au monde par l'expérience, plus vieille que toute opinion, de l'habiter par notre corps

La science est l'expression la plus dogmatique de la croyance dans le Grand Objet

"Où suis-je?" et "Quelle heure est-il?" sont des questions inépuisables

Le propre du visible est d'être superficie, d'une profondeur inépuisable

Près de l'autre, j'assiste à l'effrayante naissance de la vocifération

La chair n'est pas matière, ni esprit, ni substance, elle est un élément au sens de l'eau, l'air, la terre et le feu

J'entends ma voix vibrer du dedans, à travers ma tête, plutôt qu'au-dehors

C'est d'abord le regard qui interroge les choses : comme notre corps et nos sens, il est un mesurant pour l'Être

Loin de détenir le secret de l'être du monde, le langage est lui-même un monde qui redouble l'énigme du monde

Entre ma perception et la chose, mon corps s'interpose et s'efface

Le regard d'autrui ne dépend d'aucune possibilité intérieure, il est un pur fait qui me laisse médusé : l'entrée en scène de quelqu'un d'autre

Le visible semble reposer en lui-même, mais nous ne pouvons pas nous fonder en lui

La chose contient en elle le foisonnement des perspectives que je vois

Si je me confonds avec ma vue du monde, sans aucun recul réflexif, ma vision pure concentre l'être en un point de néant

La foi perceptive est la croyance que nous voyons les choses mêmes

La pensée pure est une relation sourde avec le monde : il faut une surréflexion pour lui faire dire ce qu'il veut dire

Notre monde est principalement et essentiellement visuel; l'Être y est introduit par un système de perspectives à l'intersection de mes vues et de celles des autres

Par d'autres yeux, nous sommes à nous-mêmes pleinement visibles

Autrui est invisible pour ma vision pure : il ne s'introduit dans mon univers de voyant que par l'effraction de son regard, qui assure son altérité

Je m'entends avec ma gorge

La chair est l'enroulement du visible (du sensible) sur lui-même

La chair est visibilité en soi, chose visible et voyante

La chose est ce qu'elle est, sans commune mesure avec nos pensées

Le monde et moi sont l'un dans l'autre : la chair tapisse et enveloppe toutes les choses visibles et tangibles dont elle est entourée

Notre corps a deux côtés : senti (sensible, objectif) et sentant (phénomènal)

Le langage est la voix même des choses

Le monde est chair universelle

La seule manière de penser le négatif dans l'Être est de penser qu'il (le négatif) est en n'étant pas

L'ouverture au monde est l'expérience de la chose qui est pensée, mais ne peut être réduite à la pure pensée

La parole, chair du visible, prolonge dans l'invisible l'appartenance du corps à l'être

Le psychisme est l'invisible de l'homme pensé comme une chose

Pour décrire l'être, on peut recourir à la dialectique comme pensée de situation, à condition de secouer les fausses évidences et de ne jamais la formuler en thèses

La chair vocale est l'adhérence intercorporelle du parlant et de l'entendant

Il n'est de bonne dialectique qu'hyperdialectique : celle qui enseigne qu'il y a toujours un supplément d'être dans l'être

C'est à l'expérience qu'appartient le pouvoir ontologique ultime : quand je me demande ce qu'est la chose, je suis un champ d'expériences

Dans la formule sartrienne "L'être est, le néant n'est pas", poser absolument que le néant n'est pas, c'est poser absolument que l'être est

La philosophie est l'ensemble des questions où celui qui questionne est lui-même mis en cause par la question

Le temps est parfaitement familier à chacun, mais aucun de nous ne peut l'expliquer aux autres

Je suis impuissant à superposer l'expérience auditive de ma voix à celle des autres voix

Le visible et l'invisible (Maurice Merleau-Ponty, 1964) [VI]

 


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Sources
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B1.964

YYA.1964.MerleauPonty.MauriRang = ZZ_Merleau_Vib
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