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TABLE des MATIERES : |
NIVEAUX DE SENS : | ||||||||||||||||
Derrida, la déconstruction | Derrida, la déconstruction | ||||||||||||||||
Sources (*) : | Derrida, l'événement | Derrida, l'événement | |||||||||||||||
Jacques Derrida - "Echographies de la télévision, entretiens filmés av. B. Stiegler", Ed : Galilée-INA, 1996, p45 Trace du lieu (Ksa Freisteirx, 2010) - |
Derrida, la trace | L'"avoir-lieu" de la déconstruction, c'est l'enregistrement de cette "chose", la trace qui trace, où l'événement affecte l'expérience même du lieu |
Derrida, la trace | ||||||||||||||
CinéAnalyse : en laissant oeuvrer la trace | CinéAnalyse : en laissant oeuvrer la trace | ||||||||||||||||
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Si la déconstruction permet de penser l'impact des télétechnologies et du cyberspace, c'est parce qu'elle est, elle aussi (comme les nouvelles technologies) une expérience du lieu. Quelle expérience? Un événement arrive : c'est le lieu même qui est déconstruit, le lieu de l'inscription, de l'écriture, et aussi du territoire, de la Nation. Une trace enregistre cet événement. Elle l'inscrit, elle le garde, elle le porte, elle s'y réfère, elle le diffère aussi. Cet enregistrement, qui est aussi scientifique ou philosophique, est un symptôme, le symptôme d'une désarticulation qui suscite la demande d'une nouvelle éthique, un nouveau droit, une nouvelle politique. Ce qui arrive, l'événement singulier de la déconstruction, a lieu, mais sans lieu assignable, sans localisation, comme une archi-écriture qui n'a pas d'autre substance que son propre mouvement. ------- A comparer avec l'expérience du lieu produite par le cyberespace. |
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Création
: Guilgal |
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Idixa
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Derrida DerridaDeconstruction GC.GGC DerridaEvenementIF.FFI DerridaTraceGQ.GGF ArchiOeuvreTraceGH.LHH UDeconstruction Rang = MGenre = DET - DET |
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